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EMPI Maurice 

Maurice EMPI est né le 31 janvier 1933 à Saint Etienne (Loire). 
 
Dès sa première année, ses parents montent à PARIS pour habiter rue des Amandiers quelques mois avant de s’installer au 39 rue des Panoyaux à Ménilmontant où il entre à l’école maternelle. 
 
Ce sera ensuite Montmartre où Maurice fréquente l’école primaire au pied de la Butte.  
 
Maurice poursuit des études primaires à l’Ecole du Sacré Coeur. Dès son plus jeune âge, il s’initie au violon grâce à Marcel POUSSIN, son professeur. 
 
Dans la nuit du 20 au 21 avril 1944, les bombardements sur Montmartre poussent ses parents à l’éloigner vers la Normandie pour … échapper à la guerre ! 
 
Il entre à Chaptal pour ses études secondaires sans grande conviction et assez fier d’avoir totalisé le plus d’heures de colle depuis la création du lycée ! 
 
En 1949, il entre à l’Ecole Technique Supérieure « Art et Publicité » à Montparnasse, et a comme professeur le peintre Marcel BASLER qui le prend en amitié et lui conseille d’abandonner le dessin publicitaire pour se consacrer entièrement à la peinture. 
 
Il sillonne la Provence sur les traces de Van GOGH avant de rencontrer Hélène née MAILLARD, celle qui deviendra sa femme en 1950. Cette même année, il saisit l’opportunité d’entrer à l’atelier de GEN PAUL à qui il doit ses débuts dans la peinture ainsi que le rude apprentissage du métier. Il y reste de 1950 à 1953. 
 
Marié en 1951 à Hélène, sa fille Dominique nait en 1952, l’année où il peint ses premières maternités. 
 
Sa première exposition marquante est organisée en 1953 par Michel BOUTIN, en sa galerie Rue du Fg St Honoré à PARIS, alors qu’il effectue son Service militaire au 1er escadron régional du Train de Montlhéry où il croise d’ailleurs Sacha DISTEL, avant de rejoindre Paris et la caserne Mortier. 
 
En 1954 naissance de son fils Olivier tandis qu’il est toujours sous les drapeaux puis en 1960 de son troisième enfant, Jean Paul. 
 
C’est l’époque où ses toiles sont également exposées à l’étranger : Stockholm (1955) Londres (1959) tout en étant récompensées à Paris par le Conseil Municipal (1965), avant plus tard de rebondir vers Esch sur Alzette (1969) puis au-delà des mers à Nagoya et Tokyo (1971). 
 
Tous ceux qui en France et à l’étranger ont su apprécier ses toiles, gouaches et pastels, dessins et autres reproductions de ses œuvres, qu’ils soient professionnels ou amateurs, amis ou relations, acheteurs ou simples visiteurs, fidèles ou de passage, méritent sa profonde gratitude. 
 
Ses thèmes de prédilection sont les vues de Paris, de Venise ou d’ailleurs, le sport notamment les régates, les chevaux, mais aussi les natures mortes, les musiciens… 
 
Maurice EMPI sait aussi se réserver des moments de détente qu’il consacre à différents hobbies toujours exercés avec passion. 
 
Maurice EMPI s’applique dans chacune de ses œuvres à reproduire le mouvement et la couleur pour nous faire pleinement profiter de la vie qui se consume trop vite.